Die Kapelle
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- Le 19/01/2017
- Dans Littérature et Sciences
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Die Kapelle de UHLAND , poésie étudiée dans la classe de Mr BOLSINGER ,professeur d'Allemand
Voir aussi :
La classe de Monsieur Bolsinger vers 1950
Die Kapelle
Die Kapelle
Droben stehet die Kapelle ,
Schauet still ins Tall hinab .
Drunten singt bei Wies' und Quelle
Froh und hell der Hirtenknab',
Traurig tönt das Glöcklein nieder
Schauerlich der Leichenchor
Stille sind die frohen Lieder,
Und der Knabe lauscht empor.
Droben bringt man sie zu Grabe,
Die sich freuten in dem Tal.
Hirtenknabe, Hirtenknabe !
Dir auch singt man dort einmal.
Ludwig Uhland 1797-1862
La chapelle
Là-haut s'élève la chapelle,
Sereine , elle regarde la vallée
En-bas, au milieu de la prairie qui ruisselle
Monte la voix joyeuse et claire du berger
Sereine , elle regarde la vallée
En-bas, au milieu de la prairie qui ruisselle
Monte la voix joyeuse et claire du berger
La petite cloche résonne tristement,
Chants lugubres des disparus.
Les chansons joyeuses se sont tues
Et le jeune garçon écoute maintenant
Chants lugubres des disparus.
Les chansons joyeuses se sont tues
Et le jeune garçon écoute maintenant
Là-haut , on a enterré
Ceux qui vivaient heureux dans la vallée
Berger , berger !
Un jour pour toi aussi on va chanter.
Ceux qui vivaient heureux dans la vallée
Berger , berger !
Un jour pour toi aussi on va chanter.
Traduction André Lhommé
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